Citation :
La cotisation doit être la même pour tous, sauf :
C'est le cas pour mon AAPPMA puisqu'il s'agit d'une récompense destinée non seulement à encourager la réalisation de travaux d'entretien mais, et c'est presque là l'essentiel, d'amener des bénévoles dont des jeunes, pas obligatoirement pêcheurs (nous avons une assurance pour cela), au bord de l'eau.
La pêche n'est pas que l'action de tenter de capturer des poissons, c'est aussi la vie du cours d'eau, la fameuse protection des milieux aquatique (PMA), le respect d'un patrimoine exceptionnel s'agissant des grands migrateurs, d'apprendre à aimer sa rivière, à la protéger, et plein d'autres choses...
Je reviens sur une intervention de Bourito :
Citation :
Non! perso je suis totalement contre le maintien de 3 entités EGHO CHI URNE ... ça n'a aucun sens et justement puisqu'ils sont réciprocitaires et au même tarif , quel est donc le but ( les buts ) poursuivi (s) ... franchement je ne vois aucune justification pérenne . Evidemment et je le regrette peu de pêcheurs prennent connaissance des détails et du fonctionnement des ces entités ( ce qui ne veut pas dire que l'on doit les rejeter , sans savoir ) . Donc on adhère sans savoir la plupart du temps
C'est exact
Autant je suis pour le développement des réciprocités concernant une offre qui existe réellement comme sur le domaine public (cas particuliers où l'AAPPMA peut être désignée par une collectivité), autant je reste persuadé qu'il existe un grave problème de fond concernant les réciprocités sur les domaines privés.
Combien d'AAPPMA disposent réellement de plus de... 70 % des baux ou du droit de pêche (propriétaire en propre ou désigné). Cela revient à accorder la réciprocité d'un droit qu'on ne possède pas

En effet, il y a des AAPPMA réciprocitaires qui n'ont quasiment AUCUN bail.

Ils mettent donc en réciprocité un droit qu'ils ne possède pas.
Cherchez l'erreur
De plus, les baux sont signés avec un ou plusieurs propriétaires. Ils sont parfois obtenus grâce à la confiance envers des administrateurs connus, mais le(s) propriétaire(s) est (sont) rarement informé(s) que des pêcheurs venus des quatre coins de France pourront pratiquer sur leurs terres.
La situation s'améliore un peu depuis que l'A. L 435-5 du code de l'environnement prévoit que, lorsque l'entretien est financé majoritairement par des fonds publics, le droit de pêche du propriétaire riverain est exercé gratuitement pour une durée de cinq (5) ans par l'AAPPMA agréée pour cette section de cours d'eau ou à défaut par la fédération départementale.
Un arrêté du préfet doit officialiser l'octroi du droit. Il n'est pas automatique et doit être sollicité au plus tard deux mois avant le début des opérations...
Dernière modification par Elorn29N: 22 nov 2016 - 16:17_________________
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