Un bon exemple de "troll", c'est le gland de JDN qu'a pondu ce paveton, mis en lien par FatSad: une moralisation lourdingue, basée sur des présupposés et des lieux communs pitoyables, axés sur l'exclusion de la particularité et du complexe...Il a même le culot de te faire la liste des "signes qui trompent pas", afin de débusquer l'infâme: on croit rêver!
Ca me fait penser aux connards des siècles passés qui disaient pouvoir reconnaitre l'emprise de Satan, ou la prédestination au crime, au travers d'une tache cutanée, ou d'une bosse du crâne...Bonjour le Guru!
En fait, "troll" est juste un qualificatif qu'on espère désobligeant, destiné à stigmatiser l'autre...En gros, du verbiage de curé, ayant mal lu Sartre: "l'enfer, c'est les autres", que le con a traduit par "le diable, c'est TOUJOURS l'autre"...Affligeant!