Comment peut-on planter de la ferraille dans des poissons qu'on ne veut pas manger et qu'on aime, est une question vertigineuse. Abyssale, même. Mais aussi moderne que "peut-on enculer ses amis ?".
Pour ma part, je vais lever le pied côté pêche, car j'ai assez de perches, mais vous livrer des observations. Je m'étais pris il y a deux semaines pour un pêcheur au leurre : je dépassais avec du plastique ma femme et mon fils qui pêchaient la perche au
vertiau ...
Les chasses en surface sont devenues molles, le plastique et la ferraille moins opérants pour moi, même s'il reste des cadors sur le lac.
La touche des perches est passée en mode
sandre l'hiver - je ne connais pas, j'ai juste lu - ou daurade au posé (pareil). Au
drop shot non évocable ici, juste un petiot toc-toc en suspendu (elles ne sont pas au fond), surveiller alors le scion, et dès qu'il
semble plier, petit ferrage. Et petite perche !
L'augmentation de la température, l'état de gavage des perches, autre chose ?
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Le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard (Louis Aragon)