Le problème, c' est que les lois se veulent l' expression (pseudo) démocratique du désir naturel du peuple pour une morale saine, une honnêteté rigoureuse, et un altruisme frisant l' autoflagellation...Et la "justice" qui en découle, doit s' arranger avec le fait que les lois servent, aussi, d' argumentaire électoral, et de prétextes tout azimut, pour justifier l' injustifiable: et en plus, elle s' obstine a être laxiste envers les autres, et trop sévère contre moi!
.
Au fait, la "justice" sanctionne les faits, le délit...Ou la faute!?
Vous voulez un exemple: un commerçant flingue un délinquant (mineur de 17ans) venu le piller...10 ans en appel, boum!
Le même jour, un policier abat un délinquant d' une balle dans le dos...Absous, olé!
Dans les 2 cas, y a mort du délinquant: on a donc pas jugé les faits. Dans les deux cas, il y avait délit ET matière à réflexion(s): la détente d' une arme n' aime pas trop la nervosité, la peur, la colère...Et il est pas si facile qu' on croit de foutre une 9 para dans la guibole d' un gus qui se carapate (que les militaires et les flics qu' ont tiré 50 cartouches au stand cette semaine lèvent la main…)! Bref, c' est pas plus le délit qu' a été jugé!
En fait, on juge la "faute", donnée morale si il en est, et vous savez ce que disent les Hmongs: "ce qu' il y a de chiant, dans la Morale, c' est que c' est toujours celle des autres".
.
Carpe diem...
.
Dernière modification par Bébert-le-chat: 12 juil 2019 - 22:16